Communiqué de presse
Pour diffusion immédiate
8 janvier 2018
Mutation vers le roman 2.0
L’Autre miroir, le premier roman publié dans l’Internet de la francophonie (1995), s’offre maintenant avec une monture 2.0 (www.cyberauteur.com/cyberroman). En effet, l’auteur, Jacques Noël, se transforme en cyberauteur avec son texte rehaussé d’hyperliens vers des vidéos, des images, des poèmes, des notes historiques, etc. du cyberespace. Ces échos virtuels propulsant le texte dans autant d’univers parallèles…
-30-
Jacques Noël
Cyberauteur
facebook/cyberauteur
8 janvier 2018
Le Journal de Montréal (7 mai 1995)
Jacques Noël joue les Stephen King
SHERBROOKE (PC)
Jacques Noël joue les Stephen King. Comme le célèbre auteur américain de romans d’horreur, le Sherbrookois propose son roman en priorité aux usagers du vaste réseau électronique Internet avant de le publier.
Il y a quelques jours, avec la complicité de Praline (Programme régional d’accès local à l’Internet en Estrie), Jacques Noël a inscrit son roman-jeunesse, L’Autre miroir, dans divers serveurs d’Internet, l’autoroute mondiale de l’information.
En quelques minutes, le texte était porté à l’attention de ceux, parmi la quarantaine de millions de personnes à voyager sur le réseau, qui s’intéressent plus particulièrement à la littérature d’expression française. S’ils le désirent, ces usagers peuvent entrer en contact avec le serveur de Praline, à Sherbrooke, et télécharger le roman directement dans leur ordinateur.
Puis, dans quelques semaines, ou dans quelques mois, le roman sera publié à compte d’auteur, à un millier d’exemplaire. Pour commencer.
Jacques Noël est, bien sûr, un passionné d’informatique. Il est aussi un écrivain qui, outre des écrits de jeunesse, vient de produire son premier roman, une oeuvre qui s’inspire d’un rêve qu’il a eu voilà dix ans.
Jacques Noël est aussi, et surtout, animateur de pastorale. Il enseigne présentement au Mont Notre-Dame, un collège privé pour jeunes filles du secondaire, à Sherbrooke. Et c’est sans doute ce qui explique ce rêve, d’un autre genre celui-là, qu’il caresse depuis vingt ans : amasser les fonds nécessaires à la création d’une ferme d’accueil pour adolescents sans foyer ou exclus de leur foyer.
Aussi, le roman se termine par une page de présentation du projet de ferme d’accueil. Et l’auteur demande au lecteur qui le désire de lui faire parvenir son don. Fait à signaler, M. Noël forme déjà, avec sa conjointe, une famille d’accueil pour adolescents. « Mais je rêve d’amener plusieurs familles et des jeunes sur une ferme où ils auraient l’espace nécessaire à leur épanouissement…»
M. Noël ne se considère pas comme un écrivain. « Plutôt, si je crois que j’ai réussi ce tour de force, c’est grâce à plusieurs complices », souligne-t-il. Des complices comme deux enseignantes et plusieurs jeunes de secondaire 5 qui ont corrigé son roman et l’ont épuré des épisodes superflus.
Comme animateur de pastorale et croyant, il a commis un roman tissé de valeurs chrétiennes. Il raconte l’histoire de Maurice, un adulte qui, un jour, se retrouve dans un immeuble désaffecté, repère de jeunes en mal de société.
LA TRIBUNE (lundi 1 mai 1995)
Son roman sur Internet
avant même d’être publié
Gilles Fisette
Sherbrooke
Le Sherbrookois Jacques Noël joue les Stephen King. Comme le célèbre auteur américain de roman d’horreur, il propose son roman en priorité aux usagers du vaste réseau électronique Internet avant de le publier.
Il y a quelques jours, avec la complicité de l’entreprise Praline (pour Programme régional d’accès local à l’Internet en Estrie), Jacques Noël a inscrit son roman-jeunesse, L’AUTRE MIROIR, dans divers serveurs d’Internet, l’autoroute mondiale de l’information. En quelques minutes, la disponibilité de cette oeuvre était portée à l’attention de ceux parmi la quarantaine de millions de personnes à voyager sur le réseau qui s’intéressent plus particulièrement à la littérature d’expression française. S’ils le désirent, ces usagers peuvent entrer en contact avec le serveur de Praline, à Sherbrooke, et télécharger le roman directement dans leur ordinateur.
Puis, dans quelques semaines ou dans quelques mois, le roman sera publié à compte d’auteur, à un millier d’exemplaires. Pour commencer.
Ferme d’accueil
Jacques Noël est, bien sûr, un passionné d’informatique. Il est aussi un écrivain qui, outre des écrits de jeunesse, vient de produire son premier roman, une oeuvre qui s’inspire d’un rêve qu’il a eu voilà dix ans.
Jacques Noël est aussi, et surtout, un animateur de pastorale. Il enseigne présentement au Mont Notre-Dame, un collège privé pour jeunes filles du secondaire, à Sherbrooke. Et, c’est sans doute ce qui explique le rêve, réveillé celui-là, qu’il caresse depuis vingt ans : ramasser les fonds nécessaires à la création d’une ferme d’accueil pour adolescents sans foyer ou exclus de leur foyer.
Aussi, le roman se termine-t-il par une page de présentation du projet de ferme d’accueil. Et l’auteur demande au lecteur qui le désire de lui faire parvenir leur don. Fait à signaler, M. Noël forme déjà, avec sa conjointe, une famille d’accueil pour adolescents. « Mais je rêve d’amener plusieurs familles et des jeunes sur une ferme où ils auraient l’espace nécessaire à leur épanouissement… »
Jacques Noël ne se considère pas comme un écrivain. « Plutôt, si je crois que j’ai réussi ce tour de force, c’est grâce à plusieurs complices », souligne-t-il. Des complices comme deux enseignantes et plusieurs jeunes de secondaire V qui ont corrigé son roman et l’ont épuré des épisodes superflus.
Comme animateur de pastorale et croyant, Jacques Noël a pondu un roman tissé de valeurs morales chrétiennes. Il raconte l’histoire de Maurice, un adulte qui, un jour, se retrouve dans un immeuble désaffecté, repère de jeunes en mal de société. « Il y découvre douloureusement la signification d’une fresque peinte par un jeune qui a donné dramatiquement sa vie à la peinture… J’ai rêvé cet épisode de la vie de Maurice. Par la suite, j’ai tissé son histoire d’amitié avec Dominic… À la fin, Maurice en vient à donner sa ferme pour accueillir les «jeunes…» »
Le Soleil
Arts et spectacles Mardi 2 mai 1995 B8
Un écrivain propose son roman sur Internet
PC
Sherbrooke
TYPE: Nouvelle
LONGUEUR: Moyen
CENTRE D’INTÉRÊT: Écrivains; Littérature et roman québécois et canadien-français; Technologies de l’information; Littérature de jeunesse
CENTRE GÉOGRAPHIQUE: Estrie/Cantons de l’Est
Jacques Noël joue les Stephen King.
Comme le célèbre auteur américain de romans d’horreur, le Sherbrookois propose son roman en priorité aux usagers du vaste réseau électronique Internet avant de le publier.
Il y a quelques jours, avec la complicité de l’entreprise Praline (Programme régional d’accès local à l’Internet en Estrie), Jacques Noël a inscrit son roman-jeunesse, L’autre miroir, dans divers serveurs d’Internet, l’autoroute mondiale de l’information. En quelques minutes, le texte était porté à l’attention de ceux, parmi la quarantaine de millions de personnes à voyager sur le réseau, qui s’intéressent plus particulièrement à la littérature d’expression française. S’ils le désirent, ces usagers peuvent entrer en contact avec le serveur de Praline, à Sherbrooke, et télécharger le roman directement dans leur ordinateur.
Puis, dans quelques semaines ou dans quelques mois, le roman sera publié à compte d’auteur, à un millier d’exemplaires, pour commencer.
Jacques Noël est, bien sûr, un passionné d’informatique. Il est aussi un écrivain qui, outre des écrits de jeunesse, vient de produire son premier roman, une oeuvre qui s’inspire d’un rêve qu’il a eu voilà dix ans.
Jacques Noël est aussi, et surtout, animateur de pastorale. Il enseigne présentement au Mont Notre-Dame, un collège privé pour jeunes filles du secondaire, à Sherbrooke. Et c’est sans doute ce qui explique le rêve, d’un autre genre celui-là, qu’il caresse depuis 20 ans: amasser les fonds nécessaires à la création d’une ferme d’accueil pour adolescents sans foyer ou exclus de leur foyer.
Aussi, le roman se termine-t-il par une page de présentation du projet de ferme d’accueil. Et l’auteur demande au lecteur qui le désire de lui faire parvenir son don. Fait à signaler, M. Noël forme déjà, avec sa conjointe, une famille d’accueil pour adolescents. «Mais je rêve d’amener plusieurs familles et des jeunes sur une ferme où ils auraient l’espace nécessaire à leur épanouissement…»
M. Noël ne se considère pas comme un écrivain. «Plutôt, si je crois que j’ai réussi ce tour de force, c’est grâce à plusieurs complices», souligne-t-il. Des complices comme deux enseignantes et plusieurs jeunes de secondaire V qui ont corrigé son roman et l’ont épuré des épisodes superflus.
Comme animateur de pastorale et croyant, il a commis un roman tissé de valeurs morales chrétiennes. Il raconte l’histoire de Maurice, un adulte qui, un jour, se retrouve dans un immeuble désaffecté, repère de jeunes en mal de société. «Il y découvre avec douleur la signification d’une fresque peinte par un jeune qui a donné de façon dramatique sa vie à la peinture… J’ai rêvé à cet épisode de la vie de Maurice. Par la suite, j’ai tissé son histoire d’amitié avec Dominic… À la fin, Maurice en vient à donner sa ferme pour accueillir les jeunes…»